24 mai 2009
7
24
/05
/mai
/2009
13:44

Claude IZNER est le pseudonyme de deux soeurs . Elles sont bouquinistes , alors quoi de plus
naturel que de mettre en scène un libraire , Victor Legris . Dans ce cas , le travail des deux auteurs à l'écriture
d'un même roman conduit à un excès de biens un peu désagréable .
La série des enquêtes de victor Legris , c'est un peu comme s'il y avait une multitude de héros . Tout d'abord , Paris , à la fin du 19ème siècle : les descriptions des lieux et de ses habitants sont très détaillées et particulièrement vivantes . L'emploi de l'argot local contribue à créer une atmosphère dans laquelle il est agréable ( mais difficile ) de s'immerger . Il y a aussi les nombreuses références historiques à l'époque , faits marquants mais aussi faits divers . Une postface reprend et précise ces références historiques : c'est utile et instructif .
Bien sûr il est normal que les auteurs fassent référence à leurs connaissances sur les livres anciens . Mais pourquoi y ajouter la photographie , la peinture ?
Et puis Victor Legris n'est pas le seul et véritable détective . Les personnages importants sont ( trop ) nombreux . Certes , tous sont attachants , mais plusieurs mènent plus où moins leur enquête en solo et cela ne contribue pas à mettre en valeur des scénarii pourtant habiles .
L'ensemble se révèle en définitive confus et de page en page la lecture devient fastidieuse . On s'y perd et à chaque fois on a envi d'en finir le plus vite possible en se disant : «Le prochain tome , je me concentre et tout ira mieux» . Mais ce n'est qu'illusion !
Mystère rue des Saints - Pères : été 1889 . Durant l'Exposition Universelle , un meurtre est commis au 1er étage de la Tour Eiffel . D'autres meurtres suivent ! La presse s'empare de l'affaire . Victor Legris et ses associés de la librairie de la rue des des Saints - Pères enquêtent ... un peu par hasard ... jusqu'à un dénouement décevant . A lire , pour connaître le contexte lié à l'ouverture au public de la Tour ( 1889 - 120 ans déjà ! ) .
La série des enquêtes de victor Legris , c'est un peu comme s'il y avait une multitude de héros . Tout d'abord , Paris , à la fin du 19ème siècle : les descriptions des lieux et de ses habitants sont très détaillées et particulièrement vivantes . L'emploi de l'argot local contribue à créer une atmosphère dans laquelle il est agréable ( mais difficile ) de s'immerger . Il y a aussi les nombreuses références historiques à l'époque , faits marquants mais aussi faits divers . Une postface reprend et précise ces références historiques : c'est utile et instructif .
Bien sûr il est normal que les auteurs fassent référence à leurs connaissances sur les livres anciens . Mais pourquoi y ajouter la photographie , la peinture ?
Et puis Victor Legris n'est pas le seul et véritable détective . Les personnages importants sont ( trop ) nombreux . Certes , tous sont attachants , mais plusieurs mènent plus où moins leur enquête en solo et cela ne contribue pas à mettre en valeur des scénarii pourtant habiles .
L'ensemble se révèle en définitive confus et de page en page la lecture devient fastidieuse . On s'y perd et à chaque fois on a envi d'en finir le plus vite possible en se disant : «Le prochain tome , je me concentre et tout ira mieux» . Mais ce n'est qu'illusion !
Mystère rue des Saints - Pères : été 1889 . Durant l'Exposition Universelle , un meurtre est commis au 1er étage de la Tour Eiffel . D'autres meurtres suivent ! La presse s'empare de l'affaire . Victor Legris et ses associés de la librairie de la rue des des Saints - Pères enquêtent ... un peu par hasard ... jusqu'à un dénouement décevant . A lire , pour connaître le contexte lié à l'ouverture au public de la Tour ( 1889 - 120 ans déjà ! ) .