Les Pardaillans , immense fresque qui commence en avril 1553 , le roi de France est alors Henri II , puis se poursuit sous les règnes de François II , Charles IX , Henri III , Henri IV , pour se terminer sous la régence de Marie de Médicis , Louis XIII n'a alors que 13 ans ( 1614 ) .
Ce cycle est le plus souvent publié en neuf ou dix volumes .
Les Pardaillan : met en scène le vieux chevalier Honoré de Pardaillan et son fils Jean . La France est en guerre contre Charles Quint . Les deux fils du connétable de Montmorency aiment Loïse de Piennes , enlevée par Honoré de Pardaillan puis protégée par son fils Jean .
L'épopée d'amour : les complots de Catherine de Médicis connaissent leur paroxysme avec le massacre de la Saint Barthélemy ( 1572 ) . Loïse de Piennes va enfin retrouver avec l'aide des Pardaillan , l'homme qu'elle aime .
La Fausta : la Fausta est née peu après la Saint Barthélemy , c'est une descendante des Borgia . Près de vingt ans après , Jean de Pardaillan qui soutient le roi Henri III est opposé à Fausta qui a choisi la cause du duc de Guise .
Fausta vaincue : suite des guerres de religions et donc de l'opposition entre Pardaillan et Fausta .
Pardaillan et Fausta : Henri IV est roi de France . Pardaillan et Fausta ont eu un fils mais continuent de s'opposer dans l'Espagne de Cervantès .
Les amours du Chico : dans sa lutte contre Fausta en Espagne , Jean de Pardaillan est aidé par Chico .
Le fils de Pardaillan : 1609 , à Paris , Jean de Pardaillan a retrouvé son fils qui aime une fille illégitime du roi Henri IV bientôt assassiné par Ravaillac . Celle-ci connaît les secrets d'un fabuleux trésor .
Cet épisode est parfois publié en deux tomes ayant pour titre : "Le fils de Pardaillan" et "Le trésor de Fausta" .
La fin de Pardaillan : Marie de Médicis est régente , les époux Concini complotent dans son dos . Jean de Pardaillan aide son fils qui est à la recherche de sa fille , enlevée par ... Fausta .
La fin de Fausta : dans le dernier chapitre , Fausta et Jean de Pardaillan sont emportés par une gigantesque explosion . On ne retrouva que le corps de Fausta .
Les derniers mots écrits par Michel Zévaco sont : "-Monsieur de Pardaillan n'est pas mort !... Un homme de sa trempe demeure immortel !... La grande Camuse elle-même n'oserait pas le toucher de ses doigts décharnés !... Non , Pardaillan le chevaleresque , le preux des preux , Pardaillan n'est pas mort !... Et , un beau jour , au moment où nous nous y attendrons le moins , nous le verrons paraître parmi nous , de retour de quelque lointaine et épique chevauchée !... "
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